# L’Ère des Cybermenaces s’Accélère : Le Premier Ransomware Alimenté par IA est Là ! 🚀
La cybersécurité est à un tournant critique. Une nouvelle forme de menace émergente, baptisée **PromptLock**, vient d’être découverte par ESET. Il s’agit du premier ransomware connu qui tire parti de l’intelligence artificielle pour orchestrer ses attaques, marquant une escalade inquiétante dans le paysage de la cybercriminalité. Cette innovation malveillante ouvre la voie à des menaces plus sophistiquées et difficiles à anticiper.
Comment l’Intelligence Artificielle transforme-t-elle déjà le paysage des menaces cyber ?
Voici ce que vous devez savoir sur PromptLock et ses implications :
* **PromptLock** : Le premier ransomware connu alimenté par IA, développé en Golang.
* **Technologie clé** : Il utilise le modèle gpt-oss:20b d’OpenAI via l’API Ollama pour générer des scripts Lua malveillants en temps réel, compatibles Windows, Linux et macOS.
* **Défis de détection** : La variabilité des scripts générés par l’IA rend les indicateurs de compromission uniques à chaque exécution, compliquant grandement leur identification par les systèmes de sécurité traditionnels.
Dévoilé par ESET, ce variant de ransomware, pour l’instant un “preuve de concept” (PoC), est capable d’énumérer les systèmes de fichiers locaux, d’inspecter et d’exfiltrer des données ciblées, puis de procéder au chiffrement en utilisant l’algorithme SPECK 128-bit. Il peut même personnaliser sa note de rançon en fonction du type de machine infectée, qu’il s’agisse d’un ordinateur personnel, d’un serveur d’entreprise ou d’un contrôleur de distribution électrique. Cette capacité d’adaptation et de personnalisation, propulsée par l’IA, est une première dans le monde des rançongiciels.
Bien que PromptLock ne télécharge pas l’intégralité du modèle linguistique, l’attaquant peut simplement établir un proxy vers un serveur exécutant l’API Ollama avec le modèle gpt-oss-20b, ce qui rend son déploiement relativement discret. L’émergence de ce type de menace souligne à quel point l’IA rend la création de campagnes cybercriminelles, de malwares et de contenus de phishing convaincants plus accessible, même pour des acteurs moins expérimentés techniquement.
Ce phénomène s’inscrit dans un contexte plus large où les grands modèles linguistiques (LLMs) sont de plus en plus exploités. Des entreprises comme Anthropic ont déjà banni des acteurs malveillants utilisant leur chatbot Claude pour des vols de données massifs et des chantages. De plus, les LLMs sont vulnérables aux attaques par injection de prompt, comme le récent PROMISQROUTE, qui peut contourner les garde-fous de sécurité en manipulant les mécanismes de routage des modèles pour forcer un basculement vers des versions moins sécurisées, exposant ainsi les systèmes à des exfiltrations de données ou des exécutions de code non désirées.
Ces développements soulignent l’urgence pour les professionnels de la cybersécurité d’adapter leurs stratégies et de développer de nouvelles défenses pour contrer ces menaces intelligentes et évolutives.
Comment nos systèmes de défense peuvent-ils s’adapter à une cybercriminalité qui apprend et innove en temps réel ?
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